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Allez, on pousse...
Lorsque l’on a un voisin ivryen qui évolue en première division, et ce depuis plus de 50 ans, forcément on est un peu dans l’ombre. En tout cas, des médias et du grand public. Pourtant l’E.S Vitry a bien une âme et une vraie identité « handball ».
Avec très peu de moyens mais une bonne équipe de bénévoles, des spectateurs qui donnent de la voix et des joueurs motivés, le club espère se maintenir en N3 encore cette année après cette première saison en nationale où ils ont finis 10ème de leur poule. Et pour cela, deux renforts venus de N2 ne seront pas de trop !
Le capitaine de l’équipe, Florent Isambert, revient avec nous sur la préparation et l'état d'esprit du groupe.
1) Quel bilan de la préparation fais-tu ?
Notre préparation était axée d'abord sur le physique, puis sur la défense. Son bilan est mitigé car nous avons eu à déplorer un certain nombre d'absences, notamment sur blessures, ce qui fait que tous les joueurs ne sont pas au même niveau physique.
J'attends plus d'investissement de notre part aux entraînements, on est encore loin du niveau qu'on doit atteindre. Depuis deux semaines et notre tournoi de préparation, nous travaillons l'attaque et nos enclenchements, les choses se mettent en place. On est sur la bonne voie.
Avec très peu de moyens mais une bonne équipe de bénévoles, des spectateurs qui donnent de la voix et des joueurs motivés, le club espère se maintenir en N3 encore cette année après cette première saison en nationale où ils ont finis 10ème de leur poule. Et pour cela, deux renforts venus de N2 ne seront pas de trop !
Le capitaine de l’équipe, Florent Isambert, revient avec nous sur la préparation et l'état d'esprit du groupe.
1) Quel bilan de la préparation fais-tu ?
Notre préparation était axée d'abord sur le physique, puis sur la défense. Son bilan est mitigé car nous avons eu à déplorer un certain nombre d'absences, notamment sur blessures, ce qui fait que tous les joueurs ne sont pas au même niveau physique.
J'attends plus d'investissement de notre part aux entraînements, on est encore loin du niveau qu'on doit atteindre. Depuis deux semaines et notre tournoi de préparation, nous travaillons l'attaque et nos enclenchements, les choses se mettent en place. On est sur la bonne voie.
Le groupe doit resté soudé pour pouvoir s'imposer dimanche prochain en terre "ennemie".
2) Vous semblez avoir fait un bon recrutement. Sens-tu que l'équipe est plus forte que l'année dernière ?
Le staff a bien travaillé pour monter une équipe compétitive malgré le départ de quelques anciens qui vont nous manquer sur le terrain et dans la vie de groupe. Le collectif s'est considérablement rajeuni et l'effectif est élargi, ce qui nous permet de pouvoir surmonter l'absence de certains joueurs. Notre objectif est de se maintenir en Nationale 3 dans une poule où beaucoup d'équipes affichent leurs ambitions.
Nous voulons jouer les trouble-fête et nous rentrons toujours sur le parquet pour gagner, où que ce soit et quelque soit l'équipe qu'on rencontre.
3) Deux joueurs venus de Nationale 2 ont été intéressés par le projet vitryot au point de « signer » dans le club des verts et noirs. Quelles ont été leurs motivations ?
Franck Bellard :
Jean-Yves Binello (l'entraineur) m'a contacté et m'as décrit ce groupe sympa, dynamique. Après plusieurs entrainements, j'ai pu constaté que l'équipe est effectivement efficace et intègre bien les nouveaux. Le projet de jeu est compatible avec ce que je veux.
Timothé Cozzolino :
L’année dernière j’ai joué un match contre Vitry et j’avais trouvé qu’on leur faisait une fausse sale réputation, de racailles ou de mauvais joueurs. Le collectif a au contraire eveillé mon intérêt et puisque je cherchais à partir de mon ancien club (Ndlr Saint-Mandé), j’ai fait deux entrainements avec eux. J’ai apprécié leur état d’esprit et leur niveau. Le groupe est soudé et compétitif, il y a concurrence saine à tous les postes.
Y-a-t-il une vrai différence de niveau entre la N2 et la N3 ?
Il y a deux ans j’ai fait une descente en N3 avec mon ancien club. Le niveau de la N3 est particulier : techniquement ce n’est pas forcément du grand handball, mais c’est assez physique. La marche n’est pas énorme, mais se situe principalement à ce niveau à mon sens.
Pour leur premier match de la saison, les coéquipiers de Pierre Menuel se sont inclinés face à E.S Falaise pourtant promu dans la catégorie.
Le groupe de banlieusards doit maintenant se reprendre et gagner le week-end prochain face à Epernon, sixième de la poule 3 l'an passé et qui est allé s’imposer à l’extérieur lors de la première journée. Une victoire qui ferait du bien au moral et permettrait de réellement lancer la saison des Val de Marnais.
Mejdaline Mhiri
Hand-Planet
Le staff a bien travaillé pour monter une équipe compétitive malgré le départ de quelques anciens qui vont nous manquer sur le terrain et dans la vie de groupe. Le collectif s'est considérablement rajeuni et l'effectif est élargi, ce qui nous permet de pouvoir surmonter l'absence de certains joueurs. Notre objectif est de se maintenir en Nationale 3 dans une poule où beaucoup d'équipes affichent leurs ambitions.
Nous voulons jouer les trouble-fête et nous rentrons toujours sur le parquet pour gagner, où que ce soit et quelque soit l'équipe qu'on rencontre.
3) Deux joueurs venus de Nationale 2 ont été intéressés par le projet vitryot au point de « signer » dans le club des verts et noirs. Quelles ont été leurs motivations ?
Franck Bellard :
Jean-Yves Binello (l'entraineur) m'a contacté et m'as décrit ce groupe sympa, dynamique. Après plusieurs entrainements, j'ai pu constaté que l'équipe est effectivement efficace et intègre bien les nouveaux. Le projet de jeu est compatible avec ce que je veux.
Timothé Cozzolino :
L’année dernière j’ai joué un match contre Vitry et j’avais trouvé qu’on leur faisait une fausse sale réputation, de racailles ou de mauvais joueurs. Le collectif a au contraire eveillé mon intérêt et puisque je cherchais à partir de mon ancien club (Ndlr Saint-Mandé), j’ai fait deux entrainements avec eux. J’ai apprécié leur état d’esprit et leur niveau. Le groupe est soudé et compétitif, il y a concurrence saine à tous les postes.
Y-a-t-il une vrai différence de niveau entre la N2 et la N3 ?
Il y a deux ans j’ai fait une descente en N3 avec mon ancien club. Le niveau de la N3 est particulier : techniquement ce n’est pas forcément du grand handball, mais c’est assez physique. La marche n’est pas énorme, mais se situe principalement à ce niveau à mon sens.
Pour leur premier match de la saison, les coéquipiers de Pierre Menuel se sont inclinés face à E.S Falaise pourtant promu dans la catégorie.
Le groupe de banlieusards doit maintenant se reprendre et gagner le week-end prochain face à Epernon, sixième de la poule 3 l'an passé et qui est allé s’imposer à l’extérieur lors de la première journée. Une victoire qui ferait du bien au moral et permettrait de réellement lancer la saison des Val de Marnais.
Mejdaline Mhiri
Hand-Planet
